Table des matières
Ma belle antillaise nue …
Il m’arrive parfois de me demander pourquoi j’ai cette attirance particulière pour les femmes noires. Bon, honnêtement, il m’arrive de baiser avec des blanches, mais c’est pas pareil, ces femmes ne me font pas le même effet qu’une antillaise nue par exemple !
Faut dire que je suis issue d’une famille marquée par l’histoire coloniale française, c’est peut-être la qu’est le pourquoi du comment. Déjà petit, mes parents me faisait garder par une nounou black. Elle m’a peut-être donné le sein ma nourrice noire ? Rien que d’y penser, ça me fait bander.
Toujours est-il que quand je vois une belle black avec une grosse paire de nichons, je craque et je n’ai plus qu’une idée en tête : lui prendre ses gros seins, les caresser, les malaxer et lui sucer les tétons. C’est ce qui m’est arrivé avec Solange, une belle antillaise de 26 ans. Elle avait une paire de roberts à réveiller les morts la garce.
Comme elle était pas farouche, elle s’est facilement laissée séduire. Quand on s’est retrouvé nus ensemble, la première chose que j’ai fait, tu t’en doutes, c’est de m’occuper de sa paire miches. Et elle aimait mes caresses la belle Solange. Pendant que je lui mordillais les tétons, elle a attrapé ma bite en me caressant les couilles et d’une manière assez volontaire qui m’a plu elle a pris mon mandrin dans ses seins et a commencé à me faire une cravate de notaire. Au rythme de mes allées et venues mon gland venait cogner contre sa bouche. Elle en profitait pour y donner des coups de langue que ne faisaient qu’augmenter ma bandaison. Elle a du sentir que j’allais jouir, car à ce moment la elle a pris mon zob dans sa bouche pour se délecter de mon sperme.
Après, elle m’a demandé de m’occuper de son mon de vénus. Et c’est avec un plaisir certain que j’ai plongé ma tête entre ses jambes !!
Une Sénégalaise qui baise voilée …
J’aime les femmes africaines ça vous le savez. Mais quand on a l’habitude de fréquenter les femmes noires, on comprend vite que la religion est importante pour ces dames.
Moi je m’en fous un peu, je suis agnostique. Si j’avais été noir j’aurais été animiste (comme mes amantes ivoiriennes). La plupart des renois que j’ai baisé sont des catholiques. Autant dire que les foudres du bon dieu ou les sermons du pape elles s’en tamponnent le coquillard (qu’elles ont magnifiques par ailleurs). Elles ont plus les jetons du marabout du village !
Sauf qu’un jour, lors d’un séminaire à Marrakech, j’ai eu l’occasion de coucher avec une sénégalaise, une musulmane sénégalaise. J’ai pu assouvir un de mes fantasmes : baiser une meuf en niqab. C’est loin d’avoir été le meilleur coup de ma vie, mais faire l’amour avec une meuf voilée, ça arrive pas tout les jours !!
Avec une pute Ivoirienne
Certains expat disent que je suis un vieux de la vieille question femme black nue.
D’autres disent que je suis un colon pervers toujours a vouloir mettre mon nez dans le cul des femmes noires.
Ce qui est sûr, c’est que dès que je remets les pieds en CI, je fais ce que j’ai à faire pour le boulot, mais le soir je fais la tournée des boîtes et des bars histoire de finir la nuit avec une belle femme black.
Je sais pas toi, mais moi une black nue ça me fait bander, ça me met dans tout mes états. L’odeur, le velours de leur peau, la fraicheur excitante de leur chatte ça me fait oublier la grisaille de Paris. J’ai rarement été déçu par les africaines, surtout les Ivoiriennes qui sont des amantes particulièrement fougueuses.
C’était le cas de Grace, en semi-pute que j’ai levé dans un bouge de Treichville, un bar à drague pour toubabs en mal de sensations exotiques. Mais franchement des putes de ce niveau, c’est pas en France que tu trouves ça, sauf peut-être à Château-Rouge
Une coquine black de Château-Rouge
En tant qu’expat, j’ai roulé ma bosse en Afrique. Et j’ai pris goût à la peau, à l’odeur, au sexe des femmes africaines.
Quand je suis à Abidjan, trouver une Ivoirienne pour un plan Q, rien de plus facile. Le sexe est comme une seconde nature chez ces femmes de la brousse.
Par contre quand je suis coincé à Paname, c’est plus la même histoire. Quoi que …
J’ai pris l’habitude de trainer dans le quartier de Château-Rouge à Paris, pas loin de Barbès. Je vous passe les détails, j’ai mes endroits préférés et je finis toujours par repérer les africaines qui seraient pas contre une partie de jambes en l’air avec moi.
Ce fut le cas avec Francine une petite sénégalaise pas farouche qui savait manier le manche comme pas une …
